Titre extrait de l’album à venir « Upezo »

Tournage: Kader Abdou (AB MOTION), Hakim Saindou et JN (2NZENA) et Dany Comoriano (Seaview)
*Café Room (Combani/Mayotte) et au Paradis des Îles (Moroni-Ngazidja)
Montage: Dany Comoriano et Ast (CinéAST)
Photos: 2NZENA et Kalkamou Photography
Covers : Cheikh MC & Kouraïche Saïd

Remerciements à Maskaty et toute l’équipe du Café Room Combani, à Mdzadé Fatou et l’équipe du Paradis des îles pour leur accueil, merci à Mahamoud Ali Ahmed, Chanfi, Awilo Pepere Poulet, Nidhoim pour le soutien, merci également à tous les participants et participantes , à toute l’équipe Watwaniya Production et à Mwényé Mmadi pour sa collaboration exceptionnelle.

Ecrit par CHEIKH MC, composé par K'Poral Chris & CHEIKH MC / Ndzendzé additionnel : Mwényé Mmadi /Percussions : Daniel
Enregistré et mixé au Studio Watwaniya (Moroni/ Comores) par K'Poral Chris & Cheikh MC.
Masterisé par Less au Matrack Studios (Paris/France)
P & C : Watwaniya Production 2017
Booking & Management/ Comm. : Self Made Concept (selfmadeconcept.management@gmail.com)

Facebook/ Cheikh Mc Officiel
Twitter: @CHEIKHMC
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Snapchat: Cheikh mc Officiel
Site : http://cheikh-mc.com


« Ndru Ndru, Kali nyama ! - Ndru Ndru, Kali nyama ! -
Ndru Ndru, Kali nyama ! - Ndru Ndru, Kali nyama ! -
Ndru, Kali nyama ! - Ndru, Kali nyama ! -
Ndru Kali nyama ! - Ndru, Kali nyama ! »



Esprit parmi les esprits Ndru Ndru ne mange pas de chair! Maître de cérémonie du Rumbu, célébration traditionnelle dans laquelle sont invoqués les djinns, Ndru Ndru fait le lien entre les vivants et l’occulte.

En sortant des coulisses de cuisine de Anyibu où sont révélés les scandales honteux, entrez au rythme envoûtant des percussions dans ce nouveau moment de vie tiré de l’album à venir Upezo de Cheikh Mc. Un univers où les âmes balancent entre animisme et Islam ; une cohabitation étonnante sur laquelle l’artiste souhaite ici mettre la lumière.

Aux Comores, comme dans de nombreux pays du continent africain, il n'est pas rare de voir se mélanger les pratiques animistes - héritage culturel bantu -, et les grandes religions monothéistes. Les appels à la prière répondent aux tam-tams des danses aux esprits. On loue Dieu, et du même élan on cherche la protection des djinns. Dans les maisons, les fétiches se frayent une place entre les chapelets et les tapis de prières. Tout se côtoie, tout se mélange, entre équilibre et paradoxe.

Rumbu Kalinyama nous transporte dans ce paysage mystique et ésotérique
où se mêlent les djinns et les anges, les prières et les transes. « Amini shaytwani Hawu mngu sha tsi tsanganye wo wayili ! - Adore le diable ou Dieu, mais ne les mélange pas ! », nous intime pourtant la société.

Entrez dans le Rumbu mais gare à vous de bien vous attacher à la réalité et de ne pas réveiller vos démons…