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Ludovic Marin / AFP Ludovic Marin / AFP Politique - Nicolas Sarkozy sort du silence. Au milieu d'un débat sur la réforme des pensions, et le lendemain d'une mobilisation de monstre contre le texte porté par Élisabeth Borne, l'ancien chef d'État est exprimé au Figaro sur ce dossier cher à sonFamille politique originale. "Il n'y a pas de bons ou de mauvais moments pour faire une réforme. Le beau temps est celui conviction; c'est conviction attire le chemin, et non voie qui rend conviction", philosophe l'ancien locataire de l'élysée, livre le sienVision «consultation» dans une telle situation. Le droit devrait, selon lui, soutenir la réforme "Plus négociez, mobilisez la gauche qui pense que allez céder, plus démobilisez la droite qui ne comprend ce que voulez faire", a-t-il dit, en prenant l'exemple sur sa propre réforme des pensions, en 2010, poussant l'âge de départ à 62 ans. Nous n'avons qu'à écouter et à informer, c'est ce que nous avons appelé" pour consulter ", se souvient-il. Un enseignement résonne avec les longues séquences consultation syndicale qui ont précédé la présentation de la réforme des pensions et qui, finalement, n'a conduit à rien, sinon l'alliance tous les syndicats contre le texte et un droit a du mal à se positionner. À ce sujet, Nicolas Sarkozy fait appel à son ancienne famille politique à soutenir l'exécutif. «LR a fait campagne lors de l'élection présidentielle de 2022a été à lui. Elle doit se rappeler que la France populaire est pour le travail. Même lorsque vous avez l'impression contraire lorsque vous lisez les sondages ", dit-il. Il reste à voir si elle sera entendue.