pParti des films érotiques pour glisser lentement vers la science-fiction, Kiyoshi Kurosawa signe avec iReali un film aux frontières du genre. Comparée un peu hâtivement avec iInceptioni, sa dernière réalisation raconte le voyage de Koichi dans l'inconscient de sa petite-amie, Atsumi, pour comprendre les raisons qui l'ont poussée à tenter de se suicider. Conte où le fantastique se niche dans les petits détails, loin du grand spectacle de Christopher Nolan, iReali ressuscite avec finesse les démons du passé, et questionne notre rapport au souvenir à la culpabilité. L'analyse de Jacques Mandelbaum, critique au iMondei.p br p p br pImages : Olivier Clairouin Le Monde.