Les politiques ont aussi leurs séries télé favorites ? On connaît celle de Marine Le Pen. Mercredi 10 décembre, la présidente du Front National a réagi aux a class="link" rel="nofollow" target="blank" href="" target="hplink"révélations du Sénat américain sur les actes de tortures commis par la CIAa, et a class="link" rel="nofollow" target="blank" href=", Jean-Jacques Bourdin-utile-faire-parler-personne-bombe-explosen6299666.html?utmhpref=france" target="hplink"suscité la polémiquea. br br En effet, alors que son hôte, Jean-Jacques Bourdin lui demande si "la pratique de la torture est excusable ?" Marine Le Pen répond : "Il y a des cas où quand une bombe - tic tac tic tac tac - doit exploser dans une heure ou dans deux heures et peut faire 200 ou 300 victimes civiles, où il est utile de faire parler la personne pour savoir où il y a la bombe", avant d'ajouter "avec les moyens qui peut". Un scénario qui ressemble à s'y méprendre à un synopsis de série télé, et plus précisément de a class="link" rel="nofollow" target="blank" href="" target="hplink""24 heures chrono", la série mettant en scène Jack Bauera, agent de la cellule anti-terroriste de Los Angeles, qui a fréquemment recours à la torture pour obtenir des informations. br br En fait, Marine Le Pen, peut-être sans le savoir faisait référence au "a class="link" rel="nofollow" target="blank" href="" target="hplink"scénario d'une bombe à retardementa". Un scénario en forme d'hypothèse utilisé notamment pour débattre de la légitimité ou non de la torture. Si une bombe s'apprête à exploser dans un délai extrêmement court, la torture est-elle défendable? Or le "scénario de la bombe à retardement" esta class="link" rel="nofollow" target="blank" href="" target="hplink" lui-même critiqué parmi les opposantsa à la pratique de la torture. Son réalisme est même remis en cause, comme le montre notre vidéo.