pRemettre en cause le chiffre de 10.000 bureaux de vote lors de la primaire de droite en vue de 2017 serait un casus belli "itotali", a assuré mercredi François Fillon. Invité de Questions d’infoa sur LCP, l’ancien Premier ministre a évoqué l’information selon laquelle Nicolas Sarkozy envisagerait de supprimer 2.000 bureaux par rapport à ce qui avait été acté en avril par le bureau politique des Républicains.pbr br p"iIl n’est pas question de revenir dessusi", a ajouté François Fillon, qui estime toutefois que le grand nombre de votants à la primaire - certains évoquent le chiffre de 4,5 millions de personnes - va "ibalayer toutes les possibilités de manipulationi".