Lors de l’examen à l’Assemblée nationale du projet de loi sur le prolongement de l’état d’urgence décrété après les attentats à Paris, Manuel Valls a évoqué la possibilité d’attaques d’ « armes chimiques ou bactériologiques ». br br « Il ne faut aujourd'hui rien exclure. Je le dis bien sûr avec toutes les précautions qui s'imposent mais nous savons et nous l'avons à l'esprit. Il peut y avoir aussi le risque d'armes chimiques ou bactériologiques ». Devant les députés, Manuel Valls a donc clairement évoqué la possibilité de nouvelles formes d’attaques terroristes dans « une guerre nouvelle » « au cœur même de notre vie quotidienne » « où la terreur est le premier but et la première arme ».