À l'occasion d'une visite à Sarcelles dans le Val-d'Oise, Emmanuel Macron s'en est pris jeudi à sa rivale Marine Le Pen avertissant qu'il ne la "laisserait pas banaliser ce qu'est le parti du Front national". Le candidat d'En Marche a également attaqué le remplaçant de la candidate à la tête du parti, Jean-François Jalkh, un homme qui "a eu des positions extraordinairement graves".