Without love, where would you be now ?

Aujourd’hui « Blond » comme les blés, l’excentrique Chris a vraiment tout pour plaire, Non ?
Quotidiennement entouré d’une meute d’admiratrices, cible privilégié des magazines people et « Dieu » incontesté des boîtes de nuit fashion et autres restaurants huppés, Chris l’artiste paumé est mégalo, pauvre de nous…
Avec lui, tout est décadent, démesuré. Il crée sous substances, parce que, parait-il, ça ouvre le champ des possibles. Et en plus, il semble qu’il traîne un dossier psychologique dont l'épaisseur ferait pâlir d'envie n'importe quel Vidal qui se respecte (ce n'en est que mieux ainsi).
Un peu (beaucoup) schizophrène, un brin bipolaire (c'est hyper à la mode), complètement dépressif, névrosé comme il se doit, violent, alcoolique et toute pathologie étiquetée "artiste maudit" peuvent être versées à son crédit. Réjouissons-nous, c'est trop « extravagant », youpi, youpi, tralala…
Et l’Amour dans tout cela ?
Voilà le « hic », monsieur est toujours célibataire !
Dans les quartiers « hype » où le chic du chic consiste à se pavaner au bras de son fiancé (et oui, dommage pour les admiratrices), cette situation relève de l’impardonnable faute de goût.
Lancé à l’assaut du MP - Mari Potentiel -, le prince déchu de Paris saura-t-il trouver chaussure à son petit pied (39 gamine…).
Par chance, à la capitale, il est du dernier chic d’être névrosé. Autant dire que Chris est comme un poisson dans l’eau de cette ville !
Chaque semaine, son psy lui serine que l’égoïsme est la clé du bonheur. Rien que ça…
But, without love, where would you be now ?
Nowhere !
Bon, la seule et unique maladie sexuellement transmissible qu’il a envie de contracter, c’est la fièvre du Fiancé ! ! !
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