Carlos Ghosn : "Ce qui a été mal perçu par les Japonais, c'était qu'on double les droits de vote de l'État français chez Renault, et qu'on ne donne aucun droit de vote à Nissan. Je savais que les Japonais étaient remontés."

Carlos Ghosn : "Ce qui a été mal perçu par les Japonais, c'était qu'on double les droits de vote de l'État français chez Renault, et qu'on ne donne aucun droit de vote à Nissan. Je savais que les Japonais étaient remontés."

Carlos Ghosn, ex-patron de Renault-Nissan, est l'invité du grand entretien de Léa Salamé à 8h20.


User: France Inter

Views: 3

Uploaded: 2020-01-10

Duration: 01:41

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