Des propriétés viticoles désertées, des salariés sans salaire et sans nouvelles de leurs patrons : ce sont les situations vécues dans le vignoble bordelais en ce moment. Plusieurs châteaux, rachetés par des industriels chinois, sont laissés à l’abandon.br br Sur place, les habitants les accusent  d’investir juste pour le prestige, pas pour le vin. De leur côté, les entrepreneurs chinois affirment que c’est à cause de la crise du coronavirus. br br Pourtant les problèmes ont commencé bien avant. Reportage.