Extrait de "Munich" et de "93 Faubourg St Honoré". br Dîner très orienté politiquement...br br Universalisme versus sionisme...br ou quand les oeillières sionistes sont un frein à l'Art: br br Elie Barnavi -observez sa suffisance- dénigre le film de Spielberg se permettant des objections sur le talent de filmer de Spielberg. Patrick Bruel fît la même chose chez Ardisson, se vantant d'avoir refuser un rôle car il doutait des "idées véhiculées dans le film"... br Quid de la reconstitution historique -rétro et hors studios- impeccable qui a, par la suite, donné le "LA" à Romanzo criminale, La Vie des Autres, Mesrine, Il Divo, Coluche, etc... Bref la vague de films rétro-politiques de ces dernières années.br br Bien que de facture hollywoodienne et pour la première fois dans ce genre de production, les combattants palestiniens ont un visage humain. Ils ne se battent pas "pour rien" mais pour une cause défendable. On entend, dans "Munich", des propos jamais entendus dans une oeuvre made in Hollywood : "Il faut dire combien de civils palestiniens Israël a tué" ; "Les palestiniens n’ont pas inventé les tueries, croyez-vous qu’on a conquis cette terre dans la douceur ?" ; "Les juifs profitent du sentiment de culpabilité des Allemands, mais les Palestiniens ne sont pas responsables des chambres à gaz..." ; "Les persécutions n’ont jamais rendu un peuple plus vertueux...