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L'Iran est le théâtre de manifestations déclenchées par la mort le 16 septembre de Mahsa Amini, un Kurde iranien de 22 ans est décédé après son arrestation par la police des manières pour la violation du code vestimentaire L'Iran a été imposé sur de nouvelles sanctions vendredi après avoir continué, la veille, une première exécution liée au mouvement des litiges a violemment réprimé pendant près de trois mois, conduisant à de nouveaux appels à démontrer. Stuart Williams et David Vujanovic à l'agence Nicosie France-Presse Le ministère iranien des Affaires étrangères a déclaré que la République islamique avait démontré "la plus grande retenue face aux émeutes", en réponse à l'indignation des pays occidentaux face à la pendaison de ce jeune homme. L'Iran est confronté à des manifestations déclenchées par la mort le 16 septembre de Mahsa Amini, un Kurde iranien de 22 ans après son arrestation par la police des mœurs pour violation de la robe stricte de la République islamique. Jeudi, Mohsen Shekari, 23 ans, avait été condamné à mort pour avoir bloqué une rue et blessé un paramilitaire au début des manifestations, après une procédure judiciaire dénoncée comme programme par des organisations pour la défense des droits de l'homme. Agence photo France-Presse une personne qui regarde un tweet signalant le Mohsen Shekari suspendu, le 8 décembre à Nicosie, à Chypre. L'annonce de son exécution a provoqué de multiples condamnations à l'étranger ainsi que l'ONU. Au Royaume-Uni, le directeur iranien a été convoqué jeudi au ministère des Affaires étrangères, après cette exécution, "une action totalement disproportionnée, qui vise à intimider les Iraniens ordinaires et à étouffer les votes dissidents", selon un bureau de presse. Londres a également déclaré vendredi qu'il avait sanctionné 30 entités ou personnalités de 11 pays, dont l'Iran, y compris des responsables iraniens accusés d'imposer des "phrases choquantes" aux manifestants anti-régime. Le Canada lui a sanctionné 22 hauts fonctionnaires de la prison et de la police iraniens, ainsi que des collaborateurs de Renking du Guide suprême de l'ayatollah Khamenei. L'Union européenne se prépare à ajouter 20 personnes à sa liste noire et à une entité iranienne pour sanctionner les violations des droits de l'homme commises en Iran lors de la répression des manifestations, ont déclaré vendredi des sources diplomatiques à Bruxelles à Bruxelles. L'Amnesty international a déclaré qu'il était "horrifié" par la pendaison de Mohsen Shekari, qui "met en évidence l'inhumanité" du système judiciaire iranien où "beaucoup d'autres personnes sont susceptibles de subir le même sort". Mahmood Amiry-Moghaddam, directeur de l'ONG Iran Human Rights basé à Oslo, a appelé à une forte réaction internationale pour dissuader la République islamique des autres