# #EssaiVevey #Lagresseur #coiffeurreçubr Essai à Vevey : L'agresseur du coiffeur a reçu un séjour partiel, les victimes ne reviennent pas Ce Vaudois quarante ans a risqué 5 ans de prison pour avoir abusé d'une vingtaine d'adolescents entre 2019 et 2020. Mercredi, les juges lui ont accordé un séjour partiel. L'accusé avait utilisé son salon de coiffure dans la région de Lausanne comme studio photo, où le cannabis et l'alcool étaient disponibles pour Teenage Girls. Istockphoto Il a été accusé d'avoir, entre 2019 et 2020, enfreint l'intégrité sexuelle et la santé d'environ vingt ans.Quarante ans à risque de 5 ans de prison. Celui qui avait utilisé son salon de coiffure dans la région de Lausanne comme studio photo, où le cannabis et l'alcool étaient disponibles, ont été condamnés à 3 ans de prison, dont 2 ont été suspendus pour5 années. Interdit à vie pour pratiquer des activités avec des mineurs, l'homme devra également se soumettre à un traitement, comme son avocat l'avait exigé, étant donné que la prison n'était "pas la solution pour traiter son client", rapporte "24 heures". Le dernier avait déjà été condamnéà une peine avec sursis en 2005, pour des actes d'ordre sexuel avec des enfants. Une expertise récente a révélé un trouble de la personnalité mixte en lui. Il a lui-même subi un traumatisme sexuel pendant l'enfance. Pour rendre son jugement, la justice a cité la jurisprudence pour évincer, dans plusieurs cas, les qualifications de pornographie, de contrainte et d'abus d'une personne dans un état de faiblesse. L'accusé, qui a déjà passé 306 jours en détention préventive, avant d'être soumis à unLa supervision de la substitution thérapeutique ne reviendra pas, en principe, en prison. Le malentendu des victimes Les cris et les pleurs ont été entendus dans les couloirs du tribunal pénal de Vevey mercredi à la fin de l'après-midi. Les victimes, qui ont demandé que cette "justice soit faite", reste dans l'incompréhension, racontez nos collègues.Tuesday, neuf jeunes fillestémoigné devant les juges; ils vivent maintenant avec la peur des hommes plus âgés, une perte de confiance de soi, et parfois le sentiment de ne plus respecter leur corps. Les lives et les familles sont brisées, déplore leurs parents. L'un des avocats de la défense regrette la «peine virtuelle» infligée à l'accusé. La fois que le procureur Myriam Bourquin et les défenseurs des victimes souhaitent examiner le jugement, avant de considérer un éventuel appel.