#immigrationquebec #immigrationquébec #immigrationcanada #investisseurbr Une autre semaine difficile pour le ministère de l'immigration à Ottawa. Après l'histoire la famille Martin-Di Virgilio, ces immigrants "parfaits" francophones, un employé qui s'est vu refuser l'extension leur visa travail, il y avait la masse Sunwing! Une partie des revers du transporteur pendant les vacances serait liée au refus d'Ottawa d'accorder des permis de travailleurs étrangers temporaires à 63 pilotes sur lesquels Sunwing comptait. Il serait tentant de penser que la machine à immigration, les réfugiés et la citoyenneté Canada est irrémédiable et pourtant une lumière apparaît au bout du tunnel. Un réel. Progrès Il est facile d'être indigné dans les 2 millions de fichiers en attente.Cecontre, ce chiffre est trompeur. En 2022, pas moins de 4,8 millions de fichiers ont été traités. C'est près du double de l'année précédente. Qu'est-ce que cela signifie pour le monde réel? L'obtention d'une résidence permanente, d'un visa étudiant ou d'un permis de travail est en train d'être accordé dans les délais normaux. Certes, il y aura toujours des cas exceptionnels. Ils continueront de faire la une des journaux.Mais en fait, les délais époustouflants sont en train d'être absorbés, dit-on. Ne manquez pas réunion de l'heure de la latraverse-dumont, tous les jours à 17 h, en direct ou Balado à radio Qub: Même sur le front du Québec, les choses s'amélioreraient. Alors qu'en 2020-2021, aucune demande de travailleurs qualifiée n'a été traitée dans des délais normaux, pour l'année prochaine, Ottawa est confiant d'y arriver dans les 11 mois prescrits. Choix difficile Mais l'équipe du ministre Sean Fraser n'est pas à la fin de leurs peines. Et ici, je ne parle pas des grandes ambitions du gouvernement Trudeau qui veut attirer 500 000 immigrants par an d'ici 2025. Le système prend bien le fond. Au 30 novembre 2022, 670 000 demandes de permis d'étude ont été traitées. En termes de permis de travail, le nombre s'élève à quelque 700 000. Il est très bien promis qu'en mars, ces demandes seront traitées dans la norme de 60 jours. La question se pose: combien le Canada peut-il accueillir les étudiants et les travailleurs temporaires en plus des résidents permanents? Parce que c'est là que le frottement. Parce qu'en termes visas étudiants et permis travail, il n'y a pas plafond. C'est un secteur invisible que les universités sont ivres pour remplir leur poitrine et les entreprises pour compenser la pénurie de travail. Les secteurs lucratifs, bien sûr, mais qui amplifient les pressions importantes que les grandes ambitions du gouvernement Trudeau exercent sur l'ensemble du système. Déjà, les voix augmentent en anglais au Canada pour s'inquiéter des effets délétères de l'immigration massive sur une échelle envisagée par Ottawa.