Des astronomes observent , la lueur résiduelle de la br collision de deux planètes.br Pour la première fois, des astronomes ont observé une "lueur résiduelle" résultant de l'impact de deux planètes massives s'écrasant l'une contre l'autre. .br The Independent rapporte que la chaleur et br la poussière résultant de cette collision ont br tourbill onné devant l'étoile de la planète. .br Un astronome amateur a repéré près d'une étoile semblable à notre soleil, la collision de deux planètes glacées massives. .br Pour être honnête, cette observation m'a complètement surpris. Lorsque nous avons initialement partagé la courbe de lumière visible de cette étoile avec d'autres astronomes, nous avons commencé à l'observer avec un réseau d'autres télescopes, Matthew Kenworthy, co-auteur principal de br l'Université de Leiden, via The Independent.br Sur les réseaux sociaux, un astronome a souligné que l'étoile s'est éclaircie dans l'infrarouge pendant un millier br de jours avant de s'éteindre dans l'obscurité. Je savais alors qu'il s'agissait d'un événement inhabituel. , Matthew Kenworthy, co-auteur principal de br l'Université de Leiden, via The Independent.br Les recherches de l'équipe suggèrent que la lueur, qui a commencé à s'estomper sur une période de trois ans au br fur et à mesure que la poussière recouvrait l'étoile, br provenait de la chaleur laissée par l'explosion. .br Nos calculs et modèles informatiques indiquent la température et la taille de la matière incandescente, ainsi que la durée de l'incandescence, sont cohérentes avec la collision de deux exoplanètes géantes de glace, Simon Lock, co-auteur principal de l'Université br de Bristol, via The Independent.br The Independent rapporte que les astronomes br prévoient de confirmer leurs théories en continuant br d'observer les résultats de la collision planétaire. .br Zoe Leinhardt, de l'université de Bristol, co-auteur br de l'étude, explique que le matériau qui reste après l'extraction pourrait se condenser pour formerbr une série de lunes. .br La recherche a été publiée dans la revue Nature.