#Chroniqueurs #Boycott #Audiences br br Cyril Hanouna et ses chroniqueurs : une grande histoire d'amour tumultueusebr br Entre Cyril Hanouna, animateur de TPMP, et ses chroniqueurs, les relations sont souvent passionnées. Mais parfois, cela entraîne quelques chamailleries sur le plateau, comme cela a été le cas récemment.br br L'émission victime de boycottbr br Lorsque le sujet de l'insolence envers le patron a été abordé, les commentaires ne se sont pas faits attendre sur le plateau. Le boycott de l'émission a également été mentionné, un boycott qui dure depuis plusieurs semaines maintenant.br br Cela attriste profondément Cyril Hanouna, qui a exprimé sa tristesse à plusieurs reprises. Cependant, il assure que les audiences ne sont pas affectées par ce boycott, contrairement à certaines attentes.br br Un animateur reconnaissantbr br Selon Cyril Hanouna lui-même, peu importe que l'émission soit boycottée ou non, les audiences sont toujours au rendez-vous. Il admet également que TPMP ne peut pas plaire à tout le monde et comprend que certains ne souhaitent pas la regarder.br br Il a déclaré : "Et pour ceux qui ne veulent pas regarder, on comprend tout à fait, on ne leur en veut pas. Il y a plein d'autres programmes très bien. Pour ceux qui veulent regarder, merci d'être aussi nombreux et merci à vous pour tous les messages positifs."br br Une accusation d'antisémitismebr br Quelques jours plus tard, Cyril Hanouna, qui a reçu des menaces de mort, a changé de discours. Il considère maintenant l'appel au boycott de son émission comme un acte antisémite et n'a pas hésité à exprimer son indignation.br br "Quand la semaine dernière, il y a eu un boycott TPMP, vous croyez que c'est pas un acte antisémite ça ? Et bah moi je vous le dis, c'est donc un acte antisémite", a-t-il affirmé sur le plateau. Mais depuis, les choses ont évolué.br br La Cour de Cassation tranche sur l'insolence envers le patronbr br La décision de la Cour de Cassation a donné matière à débat sur TPMP. La juridiction a statué que l'insolence envers son patron ne pouvait pas être un motif de licenciement.br br Cette décision est le résultat d'un cas où un salarié a été licencié pour avoir pris des vacances sans autorisation, allant à l'encontre des accords de l'entreprise. Cyril Hanouna a prévenu son équipe que cette décision ne devait pas servir de prétexte pour un comportement irrespectueux.