La pénurie de liquidités force les Gazaouis à payer le prix fort pour leur propre argentbr br Avec les banques fermées et les distributeurs automatiques hors service, les Gazaouis se tournent vers les services de courtiers en espèces, qui facturent désormais jusqu'à 40 de commission, aggravant une crise économique croissante.br br LIRE L’ARTICLE : br Abonnez-vous à notre chaine.