Gilles-William Goldnadel : «Il manque quelque chose au discours présidentiel, le mot de l'ennemi.»

Gilles-William Goldnadel : «Il manque quelque chose au discours présidentiel, le mot de l'ennemi.»

Gilles-William Goldnadel : «Il manque quelque chose au discours présidentiel. Il manquait le mot de l'ennemi. Il a survolé le problème, qui est majeur. Le plus grand respect qu'on doit à ses victimes, c'est que ça ne recommence plus.


User: CNEWS

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Uploaded: 2025-11-13

Duration: 03:02