Photo espagna 2006. Toujours à Madrid à photo espagna à la réal fabriqua de Tapices,Ramon Masats.Il est né à Caldés de Montbui, en Catalogne près de Gérone en 1931, dans les années soixante il fait des portraits de l’Espagne de son temps, cassant l’académisme ambiant et supprimant les esthétismes classiques. Il synthétise les qualités de la couleur, applique l’économie de moyens inhérente à la construction de l’image et ce, en sa faveur. La figure humaine perd en protagoniste au profit d’une certaine graphie et de la hiérarchie chromatique.br De la politique de l’image à l’image de la politique.br 

Edito n°14
br Un numéro sous la forme d’un « Da Vinci Code » où en associant les vidéos entre elles on trouve un sens caché : le sens de la dématérialisation de l’image. 
En effet, celui-ci est un numéro charnière puisqu’il voit passer définitivement la mutation du monde de la photo de l’argentique vers le numérique.

L’univers de l’image à l’image de l’univers après le Big Bang est en extension, en dilatation permanente. Mais au passage n’en perd-il pas de sa densité. Une image n’est plus suffisante pour un message alors on la démultiplie, comme les série de portraits de Warhol obtenant ainsi une 
« une mise en abîme ».
Sommes-nous encore dans la photo ? 
Alors l’argentique passe de l’outil de travail à un symbole du temps qui passe et prend comme les bonnes bouteilles de vin le noble dépôt sous la forme de livres d’art. L’objet livre, le retour à la densité.br Et puis, DE Gaulle en guise de statut du commandeur de la politique brandis par Jean Lacouture pour nos futurs présidentiables.br PS : nous vous rappelons que les images et les vidéos présentées ne sont pas libres de droits, ©3declic, tous droits de reproduction réservés sauf accord particulier.