Compte tenu des conditions (aucun ravitaillement - rien n'avait l'autorisation de passer le cordon de gendarmes, ni sandwich, ni eau, et nous n'avions pas de toilette, etc.) et des effectifs important des forces du dés-ordre déployées (estimation : de 6 à 10 gendarmes pour 1 indigné) ... le débat sur la question de l'occupation a duré 1H30, évidement la véritable réponse pour certains motivés serait venu au moment fatidique, issu d'un MIX de réflexion et de l'improvisation au feeling. Mais d'autres évènements policiers nous ont plus tard mis en trouble, car il était non-autorisé de sortir de l'encerclement des gendarmes - sauf 10 personnes chaque 30 min. - même une fois passé l'heure déposée-concertée en préfecture, soit 23H.br C'est pourquoi vers 23H40 les 2 tentes dont nous disposions ont été montées := puis, c'est seulement après minuitbr Nous étions nous-mêmes un joli nombre qui a varié au fil des heures ; les marches jusqu'au Troca devait comptée plus de 1000 personnes, puis le début de l'Assemblée environ 400 personnes (en content ceux éparpillés autour). Mais ne vous fiez pas à ces estimations : je corrigerai les chiffres selon le retour d'info.br Sachez également que lors de ces retrouvailles multiples (tels l'arrivée des marcheurs de diverses villes de France, et Bayonne, etc.) et lorsque nous ne connaissons pas le terrain, il faut quelques temps avant que l'Assemblée des indignés commence véritablement et devienne productive sur les thématiques de société alternative. L'état et ses préfectures qui oppresse n'aide évidement pas.br br Rejoignez les indignés, car il est temps d'aborder toutes les thématiques sociétales, et s'organiser vers des travaux constructifs. Les indignés ne sont pas là pour passer le temps...